Cà n'est pas du toc, çà n'est pas de la mouche mais çà s'apparante à de la mouche sèche , d'ou je le poste ici.
Il y a des poissons qui hantes les rêves du pêcheur que je suis,
des poissons auquel on songe avant de s'endormir,
des poissons qui vous ont méner un combat d'antologie duquel ils sont sortir vainqueur.
des poissons ou le mot "pêche" prend tout son sens.
Le poste:
en fin de vaine d'eau principale ,là ou elle vient mourir, s'en suit de nouveau l'accéléré avant le rapide.
l' ensemble du lisse en léger virage,couvert d'arbre ou les branches viennent trempé dans l'eau.
bref une vrai fortesse inaccessible mais avec chambre 5 étoile et buffet à volonté,
J'avais repéré le poisson de bonne taille l'année passée qui s'était aventurée hors de sa cachette pour gober et vite refiler se planquer.
"Tu es repérée ma fifille" : je m'étais dit à ce moment. mais les eaux plus hautes et la fin des danica sonnait le glas d'une possibilité de la déloger.
En effet, du fait de l'inaccessibilité de son repère,
la berge surplombant le poste est trop dense et quand bien même elle morderait, çà serait en un inévitable emmêlement lors du combat.
seules 2 possibilités s'offrait à moi,
- soit pêcher depuis la berge dégagée,et espérer qu'elle veule bien sortir de la dessous comme l'année passée.
- soit, toujours depuis la berge dégagée, attendre un étiage fort, car une partie des branches immergées en amont du poste se retrouvaient à l'air libre.
en pêchant en surface à la bonne saison et ressortir la ligne avant les branches aval immergées en permanence. et effectivement...
Dimanche 29 mai: je pêchait l'après midi en attendant la fin de l'éclosion afin que le poisson n'aie pas le choix.
quelques passage un rien trop court puis un lancer à raz des branches en amont, pour un passage tip-top et c'est le gobage, s'en suit un combat de plus de 5 minutes
mais du matos et montage un rien inadapté et surtout une trop grande confiance en mon 10/100 duquel elle aura eu raison.
cassage dans la boucle.
Mardi 31 mai: rebelotte mais tous est bien préparer à l'avance,je tire des conclusion de l'expérience précédente, etc... je me remémore les soubressauts l'appui dans le courant, etc...
ou ammener la fario pour l'épuiser correctement... denouveau gobage mais mon nylon me fais une tortillas en pointe de canne et impossible de le décoinçé.
j'amène quand même le poisson au dessous de mon épuisette mais le temp de la relevér, gros départ et clack!!! de nouveau le 10/100 juste cassé dans la bloucle. 2ème édition
Mercredi: fini de rigoler là!!! aller hop ce sera en 14/100, bottes et entrée dans l'eau pour l'épuiser!!! ( en petite rivière ou ruisseau , je pêche du bord.
mais là,en cas de capture, les circontances l'y oblige pour l'épuiser correctement. )
Et le 3ème et dernier combat aura eut raison raison d'elle.
des pectorales de 5,5cm bien faite
une caudale large de 11cm
un corp tout trapu de 9cm à la plus grande largueur
pour un mâle de 39cm de long, j'améliore ainsi ma plus grande capture en fario d' 1cm, qui était une femelle de 38cm en mouche noyée et fil soutenu.
l'autopsie à réléver tout un tas d'insecte tombé des arbres, des cailloux, fourreaux de trycoptère, petits coquillage, danica,... bref un poisson exploitant tout le potentiel
de la rivière et du bassin versant.